Peanuts, Cacahuètes, Moyen-Orient.

*Celui qui ne culpabilise pas de ne pas réviser lève la main*

...

Je constate que parmi la marée vaseuse de membres fièrement levés certains portent des bagues têtes de mortsatandiablorigami, de la pâte fimo et des ongles manucurés.
C'est bien vous êtes des rebelles.

Oui je sais, j'ai levé la main à demi, mais c'est p'c'que voilà quoi, j'ai mon épreuve d'espagnol le 2 juin alors voilà hein, faut bien ouvrir le cahier, les p'tites fifiches tout ça quoi hein dîtes je raconte ma vie c'est incroyable et là vous lisez encore ?.

Illustrons cet article par un dessin incroyablement parlant de Sacha du Bourg Palette réalisé sur le bras gentiment prêté,par la force précisons le, d'Augusta.

Non, mais il m'arrive des choses incroyables en ce moment. (Oui, je change de sujet comme de navigateurs internet.)

J'ai été voir une pièce de théâtre qui s'est avérée être fameuse.
Fameuse reprise des mythes bibliques à la sauce"Allez-on-fait-d'l'humour-bien-potache-pour-les-vosgiens".
Faut croire que ça a marché sur les pauvres femmes qui ont compris que leur vie finira dans la fange des montagnes et qui rient de désespoir, à s'en faire fondre les amygdales. (fameuse phrase aussi....)

Bon, on va dire que je suis mauvaise langue mais bon, j'ai trouvé désolant de devoir compter les fous rires de Mlle "Jesuisl'actriceprincipaletropouechouech", de devoir supporter les délires égocentriques du "Dieu" metteur en scène, et la face d'ahuri de l'ange Gabriel (Gabrieeeeeel, j'attend un peu de sentimeeeent...lalalala)

En clair, parfois, rester à regarder Tenue de soirée à la télé ça peut avoir du bon.

Au début, j'voulais poster un article long. Mais en fait non.

Encore elle ? Oui je sais...

Bon, je tiens à vous prévenir que Melo n'est en aucun cas mon hégérie, ma muse, ma source d'imagination.....Si je poste constamment sur elle, c'est surtout à cause de son flegme et de sa fougue légendaire (oui oui parfaitement, et ce n'est pas vraiment un oxymore vous savez...)
Et ce n'est même pas pour ruiner sa réputation que je poste non plus, étant donné qu'en son cas on peut difficilement parler de réputation. Tout au plus de démence connue d'un grand nombre de personne (qui ont peur).
Car Melo, c'est ça :


Mais (malheuresement, ou heureusement, le doute est permis), c'est aussi...Ca :





Bien que mon scanner révèle son incompétence, c'est suffisant. Maintenant vous savez.

Courage.

Bonne journée.

REC (réation.)

Bon, les p'tits loups (Non, je ne m'appelle pas Valérie D., et je ne vais pas vous faire coller des stickers "Fourchettes" dans votre cuisine que j'aurais peinte au préalable en rose fushia.)

J'me dépêche, là j'ai sommeil.

...

Vous le sentiez bien là l'article qui sert à rien, genre "J'fais c'que je veux, j'suis un rebelle d'la socaïtie et p'is vouala fuck skyblog j'suis un grand" ?

Ben nan en fait, j'vais vous parler de la dernière expérience que j'ai faite en salle obscure.

(ni fouet, ni cuir)

Il s'agit de REC que j'ai été voir avec Vassili et mon comparse homonymement nommé (Ca en jette pour un barbare nan ?)

Oui, REC, à lire comme l'abrévation de Record, et non comme l'abréviation de Rhumatism Economic Club.

Le scénario est presque digne d'un épisode de Chair de Poule (là, je sens que Melo va se manifester.) : Une journaliste et son caméraman suivent des pompiers dans un immeuble où on entend d'horribles hurlements.
Oui, mais l'originalité c'est que c'est filmé à l'épaule !! OUI LES AMIS A L'EPAULE ! QUEL ENTHOUSIASME ! (u_u)
Alors ça rajoute une toute autre dimension au truc, on est directement plongé dans l'action sacadée, dynamique, tout en vitesse et tremblements. Bon j'avoue au début, c'est pas facile de s'y habituer, ça sent le faux Blair Witch à des kilomètres.
Mais au bout d'une dizaine de minutes, enfin non, une vingtaine, le temps des premiers frissons, ça pulse à un point que ben, VOUS AVEZ PEUR (houhouhou)
P'c'que ouais, ça a beau pas être interdit au moins de 16 ans, c'est pas l'hémoglobine mais plutôt le rythme halletant et terriblement réaliste qui vous fout les chocottes.
Bon, j'm'arrête là, p'c'que sinon je sens que je vais constemment répéter "halletant", "peur", "zombiiies", "épaule", "ZARMA CEST QUOI CA?" alors hein....

(bon, oui j'exagère hein, MAIS BON HO...)

[Ouais ça m'a carrément foutu les j'tons. Pas au point d'employer l'antique méthode du "8 doigts et demi devant le visage je vois qu'un peu mais c'est déjà beaucoup", j'ai ma dignité. ... Ou pas.]

PS : Si jamais vous rencontrez une gamine que vous savez zombifiée, ne faîtes pas comme ces pompiers stupides, abrutis, sans cervelles (ou bientôt sans cervelles). Ne l'approchez pas pour vérifier si elle va bien, mais défoncez la à coup de masse. S'il vous plaît.

Ca risque de faire mal.

[Article qui va pas faire long feu ici.]

J'étais prêt à écrire tout plein d'inepties qui m'auraient rempli de joie, m'auraient fait sourire, rien qu'à y repenser à ces moments....
Un blocus de lycée, en profiter (comme de sales rats) ça a du bon en fait.

Mais non, trop de choses reprennent le dessus.
J'm'étais dit que j'arrêterais de m'étendre sur la toile, que ça ne m'arriverait plus.
Il semblerait que j'sois pas doué pour les promesses.
Surtout quand elles s'adressent à moi même.
Car oui, une nostalgie écrasante se colle à une peur angoissante qui s'attache à une déception grandissante qui prend un malin plaisir à cotoyer une confiance en soi déclinante qui pour sa part à ramener avec elle l'antique appréhension, si vite suivie de la solitude, de l'envie et de la mélancolie.

Tiens, je m'étale à nouveau.
Ca fait blog de victime Number ouane non ?

"Tiens, mais pourquoi il nous raconte ça lui ? On vient pas là pour lire ça ?"
Vous avez sûrement raison.

J'aurais pas du écouter les Cowboys Fringants, non je crois pas.

I broke Juliet's head. But it was funny.

Purée, déjà 23h00 ?
*Tu peux même rajouter 4 minutes, couillon*

Arf, c'est pas pac'que tu te lèves plus tard demain que tu peux te coucher tard comme ça.
Nan mais t'as pas compris, les cernes c'est trop emo, alors faut savoir souffrir pour être beau.

P'tain, Mais "Ma gueule", ça y'est j'dis n'importe quoi.
P'is c'est pas comme si je parlais tout seul.

*Aucune réponse*

Bon, okay, c'est presque comme si je parlais tout seul.

Pourquoi je postais déjà ? La grande question. Je fais que me la poser depuis que j'ai commencé cet article...D'ailleurs pourquoi article ? Ca a rien d'un article, c'est des mots mis bout à bout qui forment presque des phrases, des fois ça marche, des fois non.

Exemples :

Là, ça marche : Je suis allé à l'église manger des cierges.
Là, ça marche pas : Mardi pâquerettes Jean-Marc ah bon deux Casimir.

Fin des Exemples.

Et là oui vous vous dîtes, il parle pour ne rien dire.
Vous êtes proches de la réalité, en effet (indeed.)

Mais bon, je dois me coucher tôt, demain on a un croquis de géographie. Et vu que les érudits de la classe en ont déduit que ça peut tomber que sur la Mégalopole (qu'on peut faire rimer avec carambole) japonaise ou la façace (qui elle ne rime pas avec carambole) atlantique des Etats-Unis, ça promet de sacrées surprises : "Purée, c'est quoi tous ces points là, Y'a des villes là ?..."

-Mémo : demain, n'oublie pas tes crayons de couleur Aurélien, sinon tu vas encore courir vers chez toi, déraper sur l'herbe fraîche (p'tain sa mère ça gliiiisse.) et rater de peu le bus démoniaque.
...
J'pourrais aussi les mettre maintenant mais non.

Aheum, pour donner enfin de l'intérêt à cet "ARTICLE", un petit dessin fait rapidement d'Octave, fier fantome à chapeau qui orne tous mes cours.

Honneur à lui.