J'fais genre j'suis là.

J'ai profondément envie de dire "Sales petits merdouilleux" à toute l'équipe de SFR, mais vu qu'ils travaillent sûrement de concert avec Google, je vais me taire au risque de finir avec ma barre des taches au fond de la gorge. Oui, car Google utilise des méthodes barbares pour se débarasser des bloggueurs voulant faire éclater la vérité ! (à remarquer que le terme "bloggueur" est connu de Mozilla Firefox et non vosgien, qu'il souligne, allez savoir pourquoi...).
BREF, comme vous pouvez le constater je m'indigne parce que mon portable n'a toujours pas de ligne alors qu'il devrait en avoir une.
Oui le paradoxe a de quoi faire rire, POURTANT CE N'EST PAS DRÔLE ET LE PREMIER QUI RIGOLE SERA DENONCE A GOOGLE !
Pac'que oui, mon petit confort personnel inclut de pouvoir jouir d'un portable fonctionnel et non de résoudre le problème de la faim dans le monde, ou celui de la cannonisation de Soeur Emmanuelle que je salue au passage. (Je suis en effet contre la cannonisation, l'utilisation d'armes à projection brutale étant selon moi non appliquable à une pauvre âme honorable.)

Pac'que vous savez quoi aussi ?
Demain c'est mon anniversaire.
Voilà, youpi, 18 ans, le jour de la création, le 29 octobre tout ça...
C'est extra non ?
Bon, j'vais pas détailler mon complexe de Peter Pan, mais je reste mitigé au sujet de ces 18 ans.
C'est quand même une sacrée foutaise.
Mais voilà.
Non je ne développerai pas, j'ai pas envie, j'ai juste envie de :
*TADAM*
A: manger une danette.
B: défoncer joyeusement un vendeur SFR avec une paire de parpains.
C: dormir
D: Vous remerciez d'avance pour flatter mon égo en me souhaitant mon anniversaire par des moyens autre que le téléphone (qui est soit dit en passant, UNE S*LOPERIE de splus mesquines.)

*Alors ? Et bien je pencherais pour les 4 réponses indistinctement. Mais la Danette après le lynchage du vendeur, ça va de soi.*


Bonne soirée et surtout, n'oubliez pas.

Ouaip', sorry toussa

Ben oui, les gens, Hop,

STAND BAÏE Quoi.

Pc'que j'ai plus le temps, j'mets ça sur le compte de la prépa, qui me prend toute mon inspiration... Et mon temps, accessoirement.
Ca n'empêche que la prépa, ça tue, du moins pour la première semaine hein. Alors j'ai envie de dire que là, j'ai qu'une envie c'est de retourner à l'internat, de voir David hurler de l'anglais suraigu dans Nancy, Louis "boarfer" avec moi, Théo médire sur X, de revoir tous les hypokhâgneux qui pulsent mémé.
De changer, de recommencer.
Oui.


P'is, voilà à bientôt quoi.
Les adieux trop longs, ça pue, ça retient, et voilà.
Encore un "voilà" pour la route.
Salut, et merci.

Hypo...Hypo...HYPOOOOOOOO...?

Ouais bon, c'pas l'obsession non plus hein...Disons que ça occupe bien l'esprit...
C'est dans une semaine...Dans une semaine à c't'heure ci, je pioncerai, ou plutôt, j'essaierai de pioncer...Appréhendant la première heure et avant, la première sonnerie, les premiers regroupements...
LA PREMIÈRE ANNÉE DE PREPA QUOI...

(purée... on deviendrait presque grands...)

(p'is z'avez vu, nouvelle révolution pilaire....)

ciel et humour pourri.

Et là, j'affiche un sourire niais, stupide, qui prouve que je suis heureux de débiter des conneries u_u

Je fais ici BIEN SÛR, référence à la scène du Seigneur des Anneaux ("ze lard oeuf ze driiing"....haha) au cours de laquelle l'habile, perspicace et bien coiffé Legolas, alors qu'il est poursuivi par des vilains Urukais qu'ils sont vilains, fait remarquer que "Le Ciel est rouge, beaucoup de sang a coulé cette nuit" (enfin, en vrai c'est en anglais, et alors c'est différent hein....)
Réplique qui ne sert à rien, à part à faire rire.
Et donc, j'l'ai pastiché, et mise en relation avec les incroyables constatations que je fais depuis ma fenêtres.
Etonnant non ?

Viva la playa de la montagna patatra

Oui, c'est comme ça, hein...
Mais au moins, sachez que si vous cherchez un sujet de conversation pour parler à un vosgien (au cas où vous prendriez le risque de nouer les bases d'une relation d'égal à [presque] égal avec ce genre d'indigène...), "le temps-qui-fait-aujourd'hui-c'pas-permis-hein-dit ?" sera parfait.
Le Vosgien aime se lamenter sur sa condition d'animal de mousson.

Explosion pour les moribonds.

Oui, des fois, j'explose de joie, citribien je trouve.
Voilà voilà, je décide de redonner vie à ce blog, qui n'était pas encore moribond certes....Mais à la vue des derniers épisodes diffusés par TF1 (je précise pour la fille aux pseudos pourris et condescendants des commentaires.) de Dr House, ben, je pense que lui insufler de temps en temps de l'oxygène comme ça, en lui donnant l'illusion de vivre, ben cipatribien. Alors, j'vais essayer d'm'en occuper un peu plus.
P'IS MAINTENANT AVEC MON AMI TOSHOP, CA VA ETRE TROP KIKOULOL !.
Aheum, sur ce.
Bonsoir.

Le cliché du temps qui passe

J'ai envie de dire qu'on a de moins en le temps de ne rien faire.

A peine rentré de Bordeaux, on est déjà le 24, puis le 27 aujourd'hui.
Incroyable, nous vivons dans un espace temporel.
Oui, de temps en temps cette considération oscillant entre stupidité et métaphysique vous saute dessus.
Et là, là vous vous rappelez que vous avez une valise de linge sale qui n'attend que votre bonne volonté pour se retrouver à mijoter dans de la lessive.
Vous vous rappelez que vous avez encore une trentaine de bouquins (en rouge, couleur du diable.) à lire pour le 2 septembre et que ça fait beaucoup beaucoup quand même.
Vous sentez cette flemme qui s'agite dans vos veines, cette seule agitation qui vous cloue à une chaise, regardant droit devant vous et scrutant le vide de l'air avec une expression de béatitude extrême (Qui n'a jamais ressenti cette sensation, vit soit sous emphèt' généralisée, soit se refuse d'admettre la vérité.)
Car Oui, ce phénomène n'est pas nouveau, la flemme nous bouffe littéralement, et ne nous laisse de plaisir que pour ce qu'on a plaisir à faire.
C'est parfaitement simple, mais vraiment vrai (et pas fraiment vrai.)
Alors, c'est pourquoi va falloir se motiver la chair faible et aller gambader entre Balzac et Stendhal, en faisant un crochet par Descartes et son édition bilingue...
Beuhhhhh.

Mais pour l'instant, laissez moi jouer à Final Fantasy XII.
Oui, je suis faible.

Narcisse va enfin pouvoir se contempler dans la Grosse Flaque.

(Ou comment tenter de retranscrir un premier séjour sacrément affolant.)

Je sens que je vais pas encore dormir, que le voyage en train va être long, mais, Pordel de Butain, qu'est ce que ça va être bien Bordeaux.
Bien, même plus que Bien.
A demain Emcé.
A bientôt, chers et affectueux lecteurs (qui ne m'envoient pas de cartes en forme de coeur, et de chocolats, j'ai remarqué u_u), rendez vous le 24 Juillet =)

(Emcé, j'suis désolé, j'ai pris une valise, mon sac aurait été trop bourré....et tu verras quel aurait été le problème ...héhé)

no drawing's land....

Il me faut Photoshop CS2 (ou 3, soyons fous.)

Pa'c'que en attendant je deséspère avec un logiciel pourrave qui va mourir dans 20 jours (oui, il y a un compte à rebours, cette saloperie me rappelle dans combien de temps il va falloir que je retourne utiliser PAINT T.T)

Et bien, allez vous me dire car vous êtes quand même fourbes, "NE TELECHARGES TU PAS PHOTOSHOP, BOUGRE DE FILS DE SATAN ?" (car oui, vous êtes fourbes et ne supportez pas le satanisme, car vous aimez le rose et les animaux vivants.)

Et bien, vous répondrais-je, stupides créatures aux idées aussi basses que le vol des oiseaux un aprés midi orageux de mars, J'essaie, j'essaie ! J'AI DEJA TELECHARGE 3 DIFFERENTES VERSIONS ! Lorsque je m'apprête à les lancer, j'ai droit à la visite d'un divin petit message d'erreur à la con qui m'avertit que c'est pas possible, que je suis hors la loi, envoyé à Guantanamo, casser des pierres dans les pénitenciers du Texas..... ALORS HEIN !

Et vous, dans votre tout-puissance de lecteur diderotien, vous me diriez.....

ET, ET, Et je vous répondrais, dans ma toute puissance-voilà-qu'elle-est-plus-jolie-la-mienne, "Qui c'est t'y qui commande, c'est pas toi, tu t'écrases, face de carême."

VOILA, VOILA, VOUS ME FAITES ENRAGER, PAUVRE DE MOI.

*Exomil*

Bon, voyez ce que je pond avec PAINT (qui aura quand même eu l'honneur d'être souligné deux fois, l'affreux.), après beaaaaaucoup d'entraînement :

Conclusion ? IL ME FAUT PHOTOSHOP ! (ceci est un cri à l'aide, à la générosité, à la pitié, à la compassion et SURTOUT, à toute personne encline à m'offrir Photoshop en échange de ma trop précieuse reconnaissance....)

I'm seriously worried about you, Mister X.

C'est incroyable comme on s'attache à ces petites bêtes.

On se prend pour un Dieu, ou presque.

On se dit qu'on doit être le seul à penser de cette façon, à penser tout court, que toutes les personnes, tous ces visages qui nous entourent ne sont que des images qui ne comprennent pas ce qui nous apparaît comme la plus évidente des évidences.

On se croit naturellement supérieur, on se sait supérieur.

On se dit que, on se dit que....qu'on sera bien assez fort.

Et puis les petites bêtes s'affirment...

Elles vous confient des secrets qui leur bouffent la gorge, elles vous chantent des chansons dans les yeux, dans la gueule, dans le coeur.

Elles vous exaspèrent, mais il n'y a pas un seul jour où vous ne pensiez à leurs conseils.

Vous les enviez mais vous ne pouvez vous empêcher de les contempler.

Elles vous ouvrent à vous, à Vous seul, éclatent le miroir et vous révèlent.

Elles vous font rire à vous en décrocher la mâchoire, et quand vous repensez à elles, les coutures lâchent à nouveau.

Elles ont partagé un pan de votre passé, ont disparu mais continuent de foture la pagaille dans vos souvenirs.

Elles vous accompagnent sur scène et dans la valse folle du petit Théâtre ambulant.

Elles sont loin, mais si proches, et à chacune de leurs paroles écrites, retransmises, vous oscillez entre rire et larmes.

Elles s'éloignent, reviennent, s'apprêtent à repartir, mais gravent au silex leur présence en vous.

Elles n'ont que leur présence à offrir et quoi d'autre de toute façon.

Elles n'existent parfois que par des banalités, mais ce sont Elles.

Ces Elles sont des Ils aussi, et des Elles.

Ces pierres avec lesquelles j'ai construit cette embarcation peu stable sont Mes Amis[*].

Ces petites bêtes sacrément encombrantes, qui se nîchent dans votre coeur, squatteurs fidèles, sans un sou pour le loyer et qui s'aggripent à vos artères et tirent chaque veine pour vous rappeler leur présence. (L'image sent le cliché, mais elle colle à mon sentiment de ce soir, et je vous emmerde.)

Putain de Dieu, fais en sorte que je devienne pas un emmerdeur de putain d'bordel d'hypokhâgneux condescendant et que je les oublie, pac'que ça, Ca mon coco, j'te le pardonnerai pas de si tôt.

Oui, c'est un Larry, vilain chapardeur de pull à Charlie, il est là pour détendre l'ambiance, c'est notre ami.

[*C'est vrai que je suis mal parti avec une embarcation en pierre.

Mais, la pierre ponce est un choix raisonnable.]

Leçon numéro 1 : haissez l'espèce humaine.

En ce moment, je cultive une certaine haine contre les gens.
Bon, je me modère, je ne suis en aucun cas sociopathe, jamais il ne me viendrait à l'idée de désosser des petites vieilles pour ensuite décorer mon corps de leurs tripes sanguinolentes (encore que, à Noël...).... Je ne hais les gens qu'en de rares occasions, et je vais me faire le plaisir de vous dévoiler la principale, car je n'ai pas grand chose d'autre à faire, en fait SI, mais chut, c'est secret.
Cet évènement qui réveille en moi le démon qui fait CRAC BOUM HUE avec ma compassion c'est:

Les Brocantes :

J'aime chiner, j'aime faire des brocantes. Mais passé un certain temps, je n'ai qu'une seule envie...(non, pas "désosser les petites vieilles !!" Vous ne m'aurez pas à ce jeu là.) une seule envie vous dis-je : réduire toute cette populace en cendre. Ca paraîtrait presque antipopulaire, à la limite du nazisme primaire, mais si, c'est comme ça. Ca commence par des "Hé Robert, faut qu'tu passes, y'a d'la bière là bos !! Dis à ta bonne fômme d'garder él'stand ! T'as rin à fout'd'aut' !" par des réponses aux rires proches de rugissements fièrement porçins. Puis, arrive le cortège des habitués des brocantes qui, il faut bien le dire, sont gras, idiots, sentent la transpiration, et parlent fort. Et ça s'invite pour samedi soir à mangéïe la tart'à la Brigitte l'est bon la tarte, ça se tape affectueusement l'épaule à grand coup de "T'sais quoué, y'a des pneus là bôs, sont bos, sont chôs cé pa la tapette". Ca parle fort encore, ça continue de déambuler, de répendre des odeurs de basse cour, et à rire fort, à exposer sa face rouge et grasse aux regards. A mon regard.
Vous me direz..."NE VA PAS AUX BROCANTES SI TU N'AIMES PAS!" (tralalala)
ben, le problème, vous voyez, sales petits relativistes, c'est que j'aime ça. J'aime les brocantes. J'aime les passer avec J., parler, rire, trouver des trucs. Mais je dois supporter et je supporte la buvette encombrée de cette masse de gens exécrables, des gens qui n'ont plus de....

Oui, Oui j'arrête. C'est ça. Je suis méchant.

Toutes mes condoléances,
espèce humaine, je te trahis, je ne le referais plus.
Promis.

(Au point où j'en suis, je pourrais bien mentir au Saint Esprit.)


---Prochainement j'en viendrais aux balades dans un village, aux achats dans les petits magasins et aux compétitions sportives. Ca sera joyeux, vous verrez...

"On joue demain ! Ah non, en fait, non."

Non, On joue ce soir.


Je stresse, mais j'en ai incroyablement envie.
Ca sera le compte à rebours jusqu'à la dernière, l'ultime, celle qui va se pointer si vite qu'on va pas la voir venir.
Celle qui va nous amener tous, nous onze, à nous tenir la main, à saluer. Et à savoir que tout va éclater.
Car oui, les Ni-Trop-Glisse-et-Rimes vont éclater.


Mais non, pas maintenant encore, pas tout de suite.


Savourons, savourons ça.
Dîtes nous MERDE.




"toc-toc-toc-toc-toc-toc-toc ..................... TOC - TOC - TOC."


Mais tout n'est pas rose au sein d'une troupe de théâtre APPAREMMENT équilibrée, constatez :

Les revenants ça fait passablement chier.

Purée, d'purin.

Pérue, d'pinru.

(Les mots s'en mêlent, malheur à nous.)
J'ai internet, j'ai passé les écrits du bac, j'ai ma répèt' générale ce soir.
Incroyable, mais vrai.
Ouais j'vous ai spolié.
Mais c'itipamafaute. En effet, la pauvre bête a été assez naïve pour laisser entrer des jolis chevaux de bois qui ont fait le même coup foireux qui fait hurler tous les troyens. Et p'is ben, BOUM BOUM MON ORDI FAIT BOUM. Ô Virus, pourquoi tant d'acharnement sur ma pauvre personne.
Déjà que le rhume ne cesse de me faire parler comme un bouchon de liège animé, il faut que mon ordinateur succombe aux affres de la maladie. Que la Nature est injuste. (Car non, Ultratarte, Life is not jolie.)
Seule solution, le FORMATAGE. le mot vous fait trembler.. Je sais.
Donc, pas ordi pendant une semaine, la flemme d'y retourner après.

PAUSE:


B.Werber la bouche ouverte et le crâne luisant (sûrement pour cause de mirabellite aigüe.)
(reconnaisez vous quelqu'un d'autre ?)


FIN DE LA PAUSE.

P'is comme j'vous l'ai dit, Le Bac.
Le Bac. "Le Bac alors tu l'as ?"
Finalement, c'était moins apocalyptique qu'il n'y paraissait.
Régurgitons la Guerre froide, jettons nous débilement sur le croquis en inventant une problématique, imaginons la vie d'une boxeuse niaiseuse (naine qui plus est.), transcendons le concept de figure maternelle chez Perrault jusqu'à la forêt (parfois je m'effraie.) et virevoltons autour du sujet d'anglais.


Ouf, plus que l'incroyable niaiseux à l'oral et ce s'ra bon.


"Qu'il est bon de souffler quand on a fini de trimer."

-Prof, nain myope.

Peanuts, Cacahuètes, Moyen-Orient.

*Celui qui ne culpabilise pas de ne pas réviser lève la main*

...

Je constate que parmi la marée vaseuse de membres fièrement levés certains portent des bagues têtes de mortsatandiablorigami, de la pâte fimo et des ongles manucurés.
C'est bien vous êtes des rebelles.

Oui je sais, j'ai levé la main à demi, mais c'est p'c'que voilà quoi, j'ai mon épreuve d'espagnol le 2 juin alors voilà hein, faut bien ouvrir le cahier, les p'tites fifiches tout ça quoi hein dîtes je raconte ma vie c'est incroyable et là vous lisez encore ?.

Illustrons cet article par un dessin incroyablement parlant de Sacha du Bourg Palette réalisé sur le bras gentiment prêté,par la force précisons le, d'Augusta.

Non, mais il m'arrive des choses incroyables en ce moment. (Oui, je change de sujet comme de navigateurs internet.)

J'ai été voir une pièce de théâtre qui s'est avérée être fameuse.
Fameuse reprise des mythes bibliques à la sauce"Allez-on-fait-d'l'humour-bien-potache-pour-les-vosgiens".
Faut croire que ça a marché sur les pauvres femmes qui ont compris que leur vie finira dans la fange des montagnes et qui rient de désespoir, à s'en faire fondre les amygdales. (fameuse phrase aussi....)

Bon, on va dire que je suis mauvaise langue mais bon, j'ai trouvé désolant de devoir compter les fous rires de Mlle "Jesuisl'actriceprincipaletropouechouech", de devoir supporter les délires égocentriques du "Dieu" metteur en scène, et la face d'ahuri de l'ange Gabriel (Gabrieeeeeel, j'attend un peu de sentimeeeent...lalalala)

En clair, parfois, rester à regarder Tenue de soirée à la télé ça peut avoir du bon.

Au début, j'voulais poster un article long. Mais en fait non.

Encore elle ? Oui je sais...

Bon, je tiens à vous prévenir que Melo n'est en aucun cas mon hégérie, ma muse, ma source d'imagination.....Si je poste constamment sur elle, c'est surtout à cause de son flegme et de sa fougue légendaire (oui oui parfaitement, et ce n'est pas vraiment un oxymore vous savez...)
Et ce n'est même pas pour ruiner sa réputation que je poste non plus, étant donné qu'en son cas on peut difficilement parler de réputation. Tout au plus de démence connue d'un grand nombre de personne (qui ont peur).
Car Melo, c'est ça :


Mais (malheuresement, ou heureusement, le doute est permis), c'est aussi...Ca :





Bien que mon scanner révèle son incompétence, c'est suffisant. Maintenant vous savez.

Courage.

Bonne journée.

REC (réation.)

Bon, les p'tits loups (Non, je ne m'appelle pas Valérie D., et je ne vais pas vous faire coller des stickers "Fourchettes" dans votre cuisine que j'aurais peinte au préalable en rose fushia.)

J'me dépêche, là j'ai sommeil.

...

Vous le sentiez bien là l'article qui sert à rien, genre "J'fais c'que je veux, j'suis un rebelle d'la socaïtie et p'is vouala fuck skyblog j'suis un grand" ?

Ben nan en fait, j'vais vous parler de la dernière expérience que j'ai faite en salle obscure.

(ni fouet, ni cuir)

Il s'agit de REC que j'ai été voir avec Vassili et mon comparse homonymement nommé (Ca en jette pour un barbare nan ?)

Oui, REC, à lire comme l'abrévation de Record, et non comme l'abréviation de Rhumatism Economic Club.

Le scénario est presque digne d'un épisode de Chair de Poule (là, je sens que Melo va se manifester.) : Une journaliste et son caméraman suivent des pompiers dans un immeuble où on entend d'horribles hurlements.
Oui, mais l'originalité c'est que c'est filmé à l'épaule !! OUI LES AMIS A L'EPAULE ! QUEL ENTHOUSIASME ! (u_u)
Alors ça rajoute une toute autre dimension au truc, on est directement plongé dans l'action sacadée, dynamique, tout en vitesse et tremblements. Bon j'avoue au début, c'est pas facile de s'y habituer, ça sent le faux Blair Witch à des kilomètres.
Mais au bout d'une dizaine de minutes, enfin non, une vingtaine, le temps des premiers frissons, ça pulse à un point que ben, VOUS AVEZ PEUR (houhouhou)
P'c'que ouais, ça a beau pas être interdit au moins de 16 ans, c'est pas l'hémoglobine mais plutôt le rythme halletant et terriblement réaliste qui vous fout les chocottes.
Bon, j'm'arrête là, p'c'que sinon je sens que je vais constemment répéter "halletant", "peur", "zombiiies", "épaule", "ZARMA CEST QUOI CA?" alors hein....

(bon, oui j'exagère hein, MAIS BON HO...)

[Ouais ça m'a carrément foutu les j'tons. Pas au point d'employer l'antique méthode du "8 doigts et demi devant le visage je vois qu'un peu mais c'est déjà beaucoup", j'ai ma dignité. ... Ou pas.]

PS : Si jamais vous rencontrez une gamine que vous savez zombifiée, ne faîtes pas comme ces pompiers stupides, abrutis, sans cervelles (ou bientôt sans cervelles). Ne l'approchez pas pour vérifier si elle va bien, mais défoncez la à coup de masse. S'il vous plaît.

Ca risque de faire mal.

[Article qui va pas faire long feu ici.]

J'étais prêt à écrire tout plein d'inepties qui m'auraient rempli de joie, m'auraient fait sourire, rien qu'à y repenser à ces moments....
Un blocus de lycée, en profiter (comme de sales rats) ça a du bon en fait.

Mais non, trop de choses reprennent le dessus.
J'm'étais dit que j'arrêterais de m'étendre sur la toile, que ça ne m'arriverait plus.
Il semblerait que j'sois pas doué pour les promesses.
Surtout quand elles s'adressent à moi même.
Car oui, une nostalgie écrasante se colle à une peur angoissante qui s'attache à une déception grandissante qui prend un malin plaisir à cotoyer une confiance en soi déclinante qui pour sa part à ramener avec elle l'antique appréhension, si vite suivie de la solitude, de l'envie et de la mélancolie.

Tiens, je m'étale à nouveau.
Ca fait blog de victime Number ouane non ?

"Tiens, mais pourquoi il nous raconte ça lui ? On vient pas là pour lire ça ?"
Vous avez sûrement raison.

J'aurais pas du écouter les Cowboys Fringants, non je crois pas.

I broke Juliet's head. But it was funny.

Purée, déjà 23h00 ?
*Tu peux même rajouter 4 minutes, couillon*

Arf, c'est pas pac'que tu te lèves plus tard demain que tu peux te coucher tard comme ça.
Nan mais t'as pas compris, les cernes c'est trop emo, alors faut savoir souffrir pour être beau.

P'tain, Mais "Ma gueule", ça y'est j'dis n'importe quoi.
P'is c'est pas comme si je parlais tout seul.

*Aucune réponse*

Bon, okay, c'est presque comme si je parlais tout seul.

Pourquoi je postais déjà ? La grande question. Je fais que me la poser depuis que j'ai commencé cet article...D'ailleurs pourquoi article ? Ca a rien d'un article, c'est des mots mis bout à bout qui forment presque des phrases, des fois ça marche, des fois non.

Exemples :

Là, ça marche : Je suis allé à l'église manger des cierges.
Là, ça marche pas : Mardi pâquerettes Jean-Marc ah bon deux Casimir.

Fin des Exemples.

Et là oui vous vous dîtes, il parle pour ne rien dire.
Vous êtes proches de la réalité, en effet (indeed.)

Mais bon, je dois me coucher tôt, demain on a un croquis de géographie. Et vu que les érudits de la classe en ont déduit que ça peut tomber que sur la Mégalopole (qu'on peut faire rimer avec carambole) japonaise ou la façace (qui elle ne rime pas avec carambole) atlantique des Etats-Unis, ça promet de sacrées surprises : "Purée, c'est quoi tous ces points là, Y'a des villes là ?..."

-Mémo : demain, n'oublie pas tes crayons de couleur Aurélien, sinon tu vas encore courir vers chez toi, déraper sur l'herbe fraîche (p'tain sa mère ça gliiiisse.) et rater de peu le bus démoniaque.
...
J'pourrais aussi les mettre maintenant mais non.

Aheum, pour donner enfin de l'intérêt à cet "ARTICLE", un petit dessin fait rapidement d'Octave, fier fantome à chapeau qui orne tous mes cours.

Honneur à lui.

Bordeaux ? Bordeaux....Mmmmm c'est prêt de Pô ?

(vous pouvez lire ça si vous vous intéressez un temps soit peu à ma vie, sinon vous allez vous faire chier.)

L'idée de composer un compte rendu de mon (trop court) passage à Bordeaux s'impose maintenant à mon esprit comme une entreprise perilleuse, longue, difficile, exténuante.... Mais en fait, c'est surtout parce que j'écoutais l'hymne de la Team Rocket, et écouter du français quand j'écris a tendance à m'empêcher d'avoir une inspiration cohérente (ouah, c'est trop cool ça.)

Alors, voilà, 5 jours à Bordeaux, 5 jours de folie pure, 5 jours d'un bol d'air hallucinant, incroyable....
Un dimanche dans le train, l'appréhension qui monte au fil des villes passées, Reims, Marne la Vallée (Oui Aurélien, c'est prêt de Paris ça)....et jusqu'à Bordeaux, terminus, Tout le monde descend. TU descends. (J'allais oublier le charmant psychopathe qui lorgnait affamé sur mes dessins et sur moi accessoirement, si tu te reconnais, et donc si tu lis ces lignes.....sache que je ne parle pas de toi.)

Quai de la Gare de Bordeaux

C'est énorme, trop énorme. Je me plante devant une cafétaria et j'attend Emcé qui me cherche aussi. On se cherche, on se trouve pas, elle peste, elle râle (elle fait ça à merveille ^^) et finalement me voit.

Ouch, ça fait bizarre. Ské impression bizarre.... On a du mal à s'habituer, on se regarde un peu en coin, les rires ne sont pas encore naturels... Attendons....Il n'y aura pas longtemps à attendre. Au bout de 2 heures je me sens si bien....
Le soir je rencontre Amine, il m'apprend comment détruire la patience d'Emcé, ça m'plaît, les gens sont sympas. x)

Le lendemain, lundi donc

(merci aux premiers rangs qui écoutent ou font semblant), le matin on végète et l'après midi c'est Sortie powa, dans Bordeaux, achat de fournitures de dessin, et on retrouve une meute bordelaise dans un bar. Première approche terminée par la pluie et le parapluie d'Augusta qui nous quitte prématurément.

PETITE PARENTHESE : Les Bordelais ne savent pas ce qu'est la pluie, Pour eux c'est le déluge (ça drache je précise u_u) quand il bruine un peu. Moi je dis, vive la peau tannée des Vosges hein... FIN DE LA PETITE PARENTHESE.
Après, comme tout a un début, j'me suis mis au bowling. Bon au moins, ça m'a permis de vérifier que tout mon corps, mes organes, mes gènes, étaient complètement pas aware du bowling. Expérience à passer sous silence, même si c'était gavé une bonne aprem' :p
Puis ciné avec Axelle, qu'Emcé décrit comme étant pas comme tout le monde (hum, je confirme. ^^), on se retrouve chez Axelle avec son tapis fourbe, le nutella, Pokémon, et après dodo maison.

Fontaine des Quinconces (et pas Kinconss' XD)

Le Mardi,

on a la tête dans le cul, mais bien profond, le genre que tu peux pas marcher tellement tu te cognes dans les murs. En plus on a rendez vous à L'ECV pour des cours d'arts APPLIQUES (p'c'que "Arts plastiques" c'pas pareil Aurélien...u_u), aujourd'hui : STORYBOARD. On s'dépêche, et on file dans les embouteillages. C't'un peu l'horreur, moi j'ai pas l'habitude, on voit rarement d'embouteillage de vaches par ici...
Finalement le prof est plus en retard que nous, on s'assied à une table éloignée des autres, comment qu'on se spoile nous même, ça fait peur. Et là deux filles et un mec nous rejoignent. Emcé prend alors en chasse une des filles de son regard perçant. La pauvre dit qu'elle vient de Biarritz et Emcé lui décoche alors de sa langue assassine ( et de sa mémoire qui fait peur quand même, WAHOUUU le monstttre !! FREAAAKKK ! XB): "Tu t'appelerais pas Emma ?" La pauvre Emma, démasquée patronymement fait un bond en arrière cherchant si son nom est gravé sur son front. Non, non, Emcé s'en est rappelée du forum où nous mêmes nous sommes rencontrés. Genre, c'est pire qu'une coïncidence, c'est Dieu qu'a foutu une couille dans l'pâté divin.
La matinée se passe bien, ské gavé bonne ambiance avec Emilie Simon entre autre en show case toussa toussa....
L'après midi c'est ACHETAGE DE COMICS DANS PETITES BOUTIQUES DE MON COEUR YAOUWWWWWWW TROPBIEN aheum puis, Parc Time, appelage de gens (Saviez vous que Melo se battait à coup de casseroles avec sa soeur ? La déviante en pleine déchéance...) et finalement, visite de Bordeaux. Alors là, Chapeau bas Emcé, t'es trop Patrimoine-Woman, ça faisait presque peur. Bon les chaussettes ont déteint sous les converses, ça prouve qu'on a gavé bien walké....

Le lendemain,

retour à l'ECV, cours d'ILLUSTRATION où on retrouve Emma toujours lumineuse mais Emilie Simon n'est pas là. (Arf) Ca s'passe bien, Emcé aime faire des giclures de ketchup, c'est pas sa faute, ça tourne pas rond c'tout.

(Moment d'autosatisfation : La prof : Tiens, toi t'as un sacré coup de crayon.... >3<>

L'après midi commence difficilement... ON CHERCHE DES PÂTES A EMPORTER...Et quand on s'achète des pâtes carbo, Emma et moi, on trouve pas les couverts, MAIS EMMA AVAIT UNE CUILLERE (la fourbe)....Après en avoir trouvé dans une supérette, on en trouve finalement sous le plat (Comme c'est injuste, là Dieu nous a bien niqué cette fois. u_u) Puis ben, on s'ballade, on retourne au Miroir d'Eau (Ou Flaque d'eau, accessoirement.) où Emma nous fait partager ses talents de photographe (Ouah la fille dans la brume là on dirait La Dame Blanche !!....Gavé ouais !!! o.O) puis ben, on laisse Emma retourner à Biarritz, Salut Emma =)
Nous on retourne chez Emcé pour préparer la soirée de ce soir (pac'qu'une soirée l'après midi, ça s'appelle pas comme ça.). On retrouve Marco qui a fait honneur à la nature chez les voisins, et on débarasse le garage.... Puis, les gens arrivent, Amine (tout droit sorti de sa JAPD "LE MIRAGE, IL ES TOU LE MIRAAAGE ? è_é), Augusta (COPINE DE BOLAAAAS 8D)et Eugé, puis Axelle, Clotilde, Alexandra (Le "Mooooooon" vosgien, c'est pour les vaches, c'est ça ?"), Laetitia (bel effort, elle arrive enfin à placer "ské" dans une phrase...), Denis, Louis puis Yann et Baptiste (traîné du lit MOUAHAHAHAHA...)Et là....PURE SOIREE QUI DECHIRE MEME. Apprentissage commun du Vosgien et du Bordelais. Petite leçon de géographie "Non, les Vosges c'est pas en Alsace, non, un vosgien, pas un vosgiaux, ni un vosgerien....u_u". Enorme Kamoulox 8D, et tellement de bonnes choses dont un gros taggage de nappe qui a obligé Emcé à garder la chose en souvenir XD J'me rend compte que le parlé vosgien intrigue les bordelais ...mmm.....Bizarre....
Mais la soirée ne s'arrête pas là, Augusta restera finalement dormir et là, YOUAWWWW, l'après soirée de malade. (nous en resterons là XD)

Le jour suivant,

on émerge difficilement et il fait beau (*_* instant de grâce divine, Dieu Ze Come Back)... La mélancolie commence à arriver mais on la combat, on va faire un tour en ville, encore plein de nouvelles choses, j'me trouve des bolas (sont beauuuuxxxxxx :P) et on rentre après taggage de sac, de trousse, de carnet (qui contient maintenant l'ensemble de nos délires vosgio-bordelais ;P) dans un bar troglodyte baroque (Si Si !! xD)....

Là, soirée mémorable, mais pas pour les mêmes raisons que les précédentes. (Merci.)

Le lendemain....

Ca m'prend déjà aux tripes d'écrire ça. J'serais bref. Je hais ces adieux de gare. Celui-ci fut le pire, le pire de tous...

Mais je reviendrai.
JE REVIENDRAI, TREMBLEZ BORDELAIS, CAR MAINTENANT VOUS ÊTES DANS MON COEUR, ET IL FAUDRA TOUTE L'EQUIPE D'URGENCES POUR VOUS EN EXTRAIRE (ou pas.)

(cliquez sur l'image s'iouplaît pac'que là c'est sincèrement d'la bouse u_u)

Baby come back.

Le retour de Bordeaux ne s'est pas fait sans mal.
Gavé, gavé bien.
C'est tout.
Ca t'a changé ?
...Oui.

Compte rendu ce week end. "Sûrement."

Merci aux Bordelais, c'est cool. (123)

Et Merci à toi Marie Céline, oui tu auras ton nom écrit en entier, toi Vierge Antisémite.

Couche toi Aurélien, il est tard, toi sommeil, toi n'importe kwa.

C'est la saison des moissons

Vous avez vu ? Le pétrole touche les 117 dollars le baril.

Aimé Césaire est mort.

Les pirates somaliens du Ponant sont mis en examen.

Ah oui, et, j'me suis coupé les cheveux.(OUAH L'ENTREE EN MATIRE DE OUFSARACE) Enfin, une coiffeuse m'a coupé les cheveux (oui, vous aviez deviné, comme c'est bien, même J. ? :P)
C'est la que je sens que la polémique va couver un instant et exploser en moins de deux qu'il n'en faut pour que le joli poussin devienne jaune.
"Han, mais pourquoi t'as fait ça !! J'aime pas ta tête là " (Avoue Melo que tu l'as pensé fort.)

Constatez :

Ouais, mais......*cherche une excuse valable*...Avec le retour des beaux jours, j'avais peur d'avoir chaud, et p'is euh... *cherche cherche, ta vie en dépend* Hum, j'me rendais pas compte de ce que faisait la coiffeuse, en plus elle avait un grain de beauté à côté de son piercing alors j'pouvais pas quoi.
Comprenez ? Allez dîtes oui quoi, histoire de faire plaisir à un "presque-Barthez-tout-lisse" tout neuf....
Nan, j'exagère hein, c'était de mon plein grès. J'ai donné mon accord et tout, ainsi que pour la mise en relique de mes divines mèches noir bleutées (hAn OµaIs tr0p £mO kwAh)*
Et comptez pas sur moi pour me foutre de l'engrais sur le crâne, je déteste la pelouse.

Amicalement, Aurélien qui a acheté les mêmes cookies que la prof d'anglais et qui ne cesse de s'empifrer joyeusement.

PS : pour plaisir des yeux, voilà blague à F. la fille kikiflémots-ouech ,
<"C'est l'histoire d'un mec, il rentre dans un bar et il commande trois bières.
Le barman lui demande "Des pressions ?"
Et le mec répond : "Non, alcoolisme."
----------------------
Tonnerre de rires et d'applaudissements.
Merci pour elle.

LA SERENITE BORDEL !

Vous vous dîtes, "bon, la zone A est en vacances, alors ça y'est, les pauvres écoliers surchargés de travail vont pouvoir se reposer et profiter de cette éternité de 15 jours."

MAIS NON, JE SUIS LE POURFENDEUR DE VOS ILLUSIONS A LA CON (you bastard)

P'c'que, voyez, j'suis pas en mode "Allez hop c'est les vacances mon gars, c'est la fête tout ça", mais plutôt en mode "accro-boulot-pas le tempo".
Accro : Mais pourquoi j'ai acheté Final Fantasy XII ? OUI J'ME LE DEMANDE HEIN... Accro, Accro je suis devenu ! J'en prend à témoin ma session MSN spoliée (bon, ça, c'pas trop un drame encore.) Mais voilà, j'suis complètement défoncé à FFXII.... Ce genre de jeu m'énerve et j'adore ça... Recommencer 5 fois la même zone juste à cause d'un esprit de salamandre niveau 45 qui vous attaque parce qu'il fait beau, MAIS C'EST TROP LE SUMMUM DU MASOCHISME CA ! Bref.
Boulot : C'est même pas vrai, je glande.
Pas le tempo : j'appréhende le temps qu'il me reste pour bosser avant de partir chez Emcé, c'est à dire plus ou moins 5 jours, bien sûr en incluant le fait que je compte continuer à bousiller ma patience sur ce JEU TROP BIEN A LA CON.
Bien à vous, Aurélien qui se dit que ces vacances vont être courtes......T.T

Ah et p'is histoire que vous ayez quelque chose d'autre que ma sombre vie de larve fatasyenne à vous mettre sous la dent, tenez, moquons nous de nos amis du froid


"Ah Droopy ! La Poteriiiee !!!

"Nan, Alcoolisme."

Ta mère le bug, enflure.

C'était trop bien, j'avais rédigé un joli petit article sur le FML, qui n'est pas le Fond Monétaire Lybien, Mais bien le Festival des Musiques Lycéennes, sur les pogos monstrueux qui ont défoncé le thorax à M., enfin surtout les vigiles typés Gorille/Michelin, envoyé valsé des chaussures, des slams plus ou moins réussi finissant souvent en chute joliement pafsurlecul, d'la musique pac'que c'était quand même le but, des groupes qui défonçaient joyeusement dont je vais pas mettre les myspaces ici, d'une pac'que après y avoir écouté leurs compos ben, j'suis satisfait d'les avoir écouté en live (c'est tout) et p'c'que Myspacet'esmonamitropbienvienslàcâlin, ça pue.
J'parlais encore des groupes qui m'ont plu, pour lesquels j'ai levé les bras, fait le satanique (selon J., Mais bon, je l'excuse, ou du moins sa maladie mentale l'excuse.), paru complètement en trans (d'après M., qui flirte avec des clitoris percés, sans vouloir dénoncer.).
Enfin, voilà c'était de la bombe, et p'is en plus j'ai eu une canette de jus de fruits en sortant, même que y'avait pas de bulles dedans, Alors, MAIS QUE DEMANDE LE PEUPLE ? (bon, c'est vrai M. en a eu deux, mais il est fourbe, c'est pour ça.)

Après, c'était le bus. "Adolescents a moitié défroqués d'la caboche + concert de trois heures + fatigues + esprit con = N'importenawakdanslbusçafaitpeur."
Exemples : "C'est l'histoire d'un mec..."
"Et alors toute la soirée on a...."
"Ca touche, ça touche pas. Ca touche pas, ça touche."
"OOOOOOh !! DES BAT-CULS !"
"GOD VODOU."
affligeant.

Aujourd'hui ? Semaine culturelle, Ze come back depuis mardi.

On a du faire du jonglage à l'intérieur pc'qu'il faisait pas beau, j'ai pas pu faire de poterie, ni de portrait, et en plus X. n'est pas venu.
Là, le peuple, je l'emmerde, et il a rien à demander.
Nan, c'est bon, vous inquiétez pas, j'suis qu'un rabat-joie d'façace, c'était encore une super journée, et d'après E. la meilleure depuis qu'elle est dans ce lycée.
Ca fait plaisir non ?

=)

(Finalement, merci le bug.)

PS : Melo quiphe trop le Père Cent à Donf', va le découvrir sur son globe et lâche tes com'Zz.
PS² : Ouais, pour respecter l'anonymat des incendiés du bulbe qui me cotoîent, j'nomme que ceux qui se dénoncent tout seul, p'is parler que par majuscule suivie de point, c'est marrant comme tout.

"C'est comme quand on joue au volant ça"

Ouais, pac'qu'on l'attendait cette semaine culturelle quand même....

Depuis plus de trois mois qu'on planche sur ce qu'on va leur concocter à ces lycéens pour la plupart bornés du bulbe, c'qui pourrait les intéresser.

Ah, ça, on a bien planché....

Et, alors qu'en ce joyeux lundi inaugurant ces joyeux quatre jours de joyeuses festivités culturelles (joyeuses), IL SE TROUVE QU'IL NEIGE DES DEMAKE UP' (copyright Lorraine), Là, entre se pendre et se tirer une balle, le choix est dur. (Quoique, étant aussi habile qu'une pâquerette avec mes doigts, je pourrais soit rater le noeud, soit glisser sur la gachette...)
Alors, oui, on a bien eu peur quand même. Aujourd'hui devait venir un Pro de la Jonglerie clownesque, Marcel Grand, qui devait évoluer en extérieur.
MAIS LA NON PUISQUE LE SOL ETAIT TAPISSE DE DIARHEE BLANCHE* (Ô haine quand tu nous tiens...)
C'est alors qu'un éclair de lucidité a traversé l'esprit de tous mes comparses MDLiens (traduisez "appartenant à la Maison Des Lycéens", ignares.) : Pourquoi ne pas lui proposer de faire sa représentation entre les deux files de la cantine ?
Idée grandiose.
En effet, les mornes lycéens (qui sont en effet mornes en plus d'être bornés du bulbe, précisons-le) à l'heure de la douce fringale de midi, traînent leur ennui dans les interminables files qui mènent au self et au doux fumet des andouillettes et autres patates à l'huile. Pourquoi ne pas les divertir et ainsi les sortir de leur torpeur à la limite du lubrique ? (bon, là j'en rajoute un peu mais c'est pour la forme tout ça, on est des héros quoi...)
Et bien, à coup de jonglage à cinq balles, louches, seau, bâton du diable et diabolo, CA A BIEN MARCHE ! Ca a même couru ! (...quand on veut faire de l'humour, on ne compte pas.)
Alors félicitations à Marcel Grand qui a réussi ce pari risqué, BRAVO !! (Hip, Hip Hip....popotame. u_u)

Alors voilà, une nouvelle fois j'suis vanné, ça doit être le tee shirt édition spéciale "Semaine Culturelle 2008" qui doit me peser, j'suis sûr u_u (z'aurez bientôt des photos d'la bête d'ailleurs ! :p)
J'vous laisse là, bande d'insomniaques, moi j'm'en vais me préparer mentalement à enchaîner danse africaine, démo de marionnettes et atelier théâtre demain.

"-Que du bonheur !!" - Phrase de staracadémycien, subjugué devant un duo avec Lorie.

Logo de la semaine, réalisé par mes soins (*fier fier*)

*Habile effet spécial.

How to be tired ?

Recette de la jolie fatigue du moment:
-Soyez lycéen.
-Aidez à organiser une semaine culturelle. (bon, ça, c'est d'la fatigue choisie hein, entendons nous bien.)
-Faîtes de l'affichage.
-Courez dans un lycée aux couloirs en lignes droites interminables, ce qui change tout.
-Passez votre journée avec une vampire "Tu veux une patate ?", une oignon "Je gonfleee", et une bienmalcoiffée "Fôck, Lol" (prenez les bien faisandés c'est important.)
-Dormez mal.
-Ecrivez des lettres pour une bordelaise et une châlonnaise habituées aux douches froides et aux électrochocs.
-Ecrivez des articles tard le soir.
-Lisez.

Voilà, ça c'est de la fatigue. Mais bordel, que c'est bon, alors.

Sans aucun rapport, mais Sylar est quelqu'un de bien.

Laissez le jouer avec votre cervelle.

Tiens, une planche (de surf ? ah ah)

(Rahhhhhhhh, c'quoi cette qualité diarrhétique là ? O.O

Y'a intérêt que j'trouve le moyen de changer ça, p'c'que là, CA VA PAS L'FAIRE !!!)

Aheum, sinon beenn...Voilà, c'est super, vous savez que je suis capable d'émettre des ensembes de signes linguistiquement corrects mais réellement dénué d'intérêt à travers le dessin.

Au moins, vous êtes au courant qu'ici, je n'exposerai pas de photo de ceintres ou des comptes rendus de corridas sanglants.

-Rassurés ?

"Aimes tu les thérapies de groupe ?"

Incroyable.

Je quitte un précédent domaine, pour me retrouver ici.
*Ne sais pas réellement pourquoi il a atterri ici*
Mais bon, pourquoi pas ?
Un nouveau départ, un nouveau début ?
J'sais pas où ça va me mener ça, p'têt bien que j'vais même pas l'continuer, et finir dans une léthargie bloguesque complète, ne trouvant plus aucun endroit pour épancher mon insatiable soif de blabla existenciel.
Mais bon, pensons pas au pire, et disons nous que tout va bien se passer, que le vol va arriver sans encombre et que les hôtesses nous fairons le plaisir de ramener des coca lemon frais.

Sinon, Who am I ? (ça sonne comme un vieux titre de rock...)
Je pompe Melo, dont le questionnaire me paraît bien original à défaut d'être réellement pertinent. >_>

Quel est le premier mot qui vous passe par la tête, commençant par a et terminant par e?
Apôtre...... (sans plus de commentaire, je n'a jamais offert quoi que ce soit à un marmot dans une étable.)

Que dire à un type qui chavire d'amour en regardant l'horizon?
Ne rien dire, sourire, passer son chemin, et trouver son bout d'horizon à soi.

Y a-t-il en ce moment un mot écrit sur un vêtement que vous portez?
Anonymat vestimentaire.


Quand êtes vous déjà mort?
Lors de nombreux rêves, à sueur collante et souffles halletants. Pire horreur, doux retour à la réalité.

Qu'est-ce qui vous fait lever le matin?
la volonté d'avoir la salle de bain en premier. En effet, la douche m'est indispensable pour ne pas confondre une éponge et une tartine.


Que sont devenus vos rêves d'enfants?
Ils croupissent quelque part dans le "Tusaisquet'yarriverasjamais", triste région.


Qu'est-ce qui vous distingue des autres?
J'ai des pin's de Laurel sur ma trousse et un porte clé Melody toujours après mes basques. (ben quoi ?)

Vous manque-t-il quelque chose?
Ah, ça.....

Pensez-vous que tout le monde puisse être artiste?
"A sa façon" ....Ca fait très slogan..."Soyez vous mêmes, en toute liberté, ensemble c'est tout..."

D'où venez-vous?
D'un utérus plutôt sympa et confortable.

Jugez-vous votre sort enviable?
Dire non, ça serait mal, ohlalalalala.

À quoi avez vous renoncé?
A voir dans les autres ce que je devrais être.

Que faites-vous de votre argent?
j'entretiens le cercle très privé de "CD-BD-Bouquins". Original.

Quelle tâche ménagère vous rebute le plus?
les tâches ménagères.

Quels sont vos plaisirs favoris?
éclater de rire, voir les autres rire, dessiner, faire "l'écran noir" chaque soir avant de m'endormir.... Oh, s'en est presque beau.
Qu'aimeriez vous recevoir pour votre anniversaire?
je ne suis qu'un vile copieur : "La lune".

Citez trois artistes vivants que vous détestez.
Stop à la délation, vive l'amour tout ça.

Que défendez-vous?
Mmmmm, .....? (*Radio Locass' bonsoir*)

Quelle est la partie de votre corps la plus fragile?
Mon nombril u_u, c'est juste une obsession physique.


Qu'avez-vous été capable de faire par amour?
être heureux.

Que vous reproche-t-on?
de ne pas être moi ou de ne pas être celui qu'on voudrait que je sois.... je n'sais pas....
(et d'être susceptible aussi ^^mais à une bien moindre mesure....)

À quoi vous sert l'art?
A m'oublier.

Rédigez votre épitaphe:
"Tu viens ?"

Sous quelle forme aimeriez vous revenir?
Pourquoi partir ?

Sur ces belles paroles, bonne nuit, et à la prochaine.